Fonctions abéliennes du genre 3 : un cas particulier [suite]

H. Amstein
1890
o-f!i_^_ ""») -Ç" dA w (3) _ P8 dAL \w>n-JfTAA>> "»'-J/û^' "'"-jj/w-Si l'on introduit comme variables des intégrales v, ,uä, t>3, définies par les congruences l v. wA} + wA} + «V3), vs «i.W + w2('2) + w2'3), »5 tü,^+tü,<9)+«;,W, le problème de Jacobi peut s'énoncer comme il suit : Etant données les valeurs de vl,vt,v3, trouver algébriquement les valeurs correspondantes de s" zt (Ç,) ; ss, et (Çs) ; s3, z. (£3). Or, il est évident que, lorsque les valeurs de vt, vt, v3 sont connues, les valeurs
more » ... orrespondantes qu'affectent n'importe quelles fonctions uniformes de ces variables, par exemple sn w" sn!«;" snîo3, seront parfaitement déterminées. Il s'ensuit que c [(1 ft-p.-p.-y-+2ViV2*V +2>«*/V2,V,s] -
doi:10.5169/seals-262156 fatcat:rckfv74kovgspixlzitptoozva