De la position des transmissions

A. Guisolan
1965
Joffre et Pétain, ou d'autres qui cherchaient un tremplin dans la politique, il a su faire apprécier sa pondération, son bon sens, et qu'on savait que cet homme, attaché aux vieilles traditions de notre pays, aimait et ménageait le soldat. Je pense donc qu'en dépit de ses petitesses que j'ai soulignées, le Maréchal Fayolle demeure une des belles figures de l'armée française, et j'espère que dans son repos éternel il ne s'offusquera pas de ce jugement, et de l'hommage que lui rend ici une de «
more » ... s bourriques de coloniaux », dont il s'est cru victime.
doi:10.5169/seals-343267 fatcat:zpjbhd2kubeenb65cioxjimgfe