Emigration of age-0 chinook salmon (Oncorhynchus tshawytscha) smolts from the upper South Umpqua River basin, Oregon, U.S.A
Brett B Roper, Dennis L Scarnecchia
1999
Canadian Journal of Fisheries and Aquatic Sciences
Two rotating smolt traps were used through 4 consecutive years to monitor emigrations of age-0 chinook salmon (Oncorhynchus tshawytscha) from two watersheds of the upper South Umpqua River basin, Oregon, U.S.A. The number of wild smolts moving past the mainstem South Umpqua River trap ranged from 26 455 in 1991 to less than 5000 in 1993. The number of wild smolts passing the Jackson Creek trap ranged from 13 345 in 1991 to 0 in 1993. Higher numbers of wild smolts were significantly (P = 0.003)
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... orrelated with higher numbers of prespawning adults counted in index reaches the preceding year. Timing of emigration of smolts was found to be significantly related to stream temperature (P < 0.05) and phase of the lunar cycle (P < 0.05) but not related to changes in discharge (P > 0.05). Median emigration dates, which varied over 9 weeks, were earlier when spring water temperatures were higher. On average, two thirds of yearly smolt runs occurred when the moon was either waning or new, even though these moon phases were present only about half of the time. Significantly (P < 0.05) more fish than expected emigrated past both traps when day length was increasing. Résumé : On a utilisé deux pièges à smolts rotatifs durant 4 années consécutives pour surveiller l'émigration des quinnats (Oncorhynchus tshawytscha) d'âge 0 depuis deux sous-bassins du cours supérieur de la South Umpqua, en Oregon (É.-U.). Le nombre de smolts sauvages qui ont été dénombrés dans le piège du cours principal de la South Umpqua se situait entre 26 455 en 1991 et moins de 5 000 en 1993, et le nombre de ceux qui ont été recensés dans le piège du ruisseau Jackson, entre 13 345 en 1991 et 0 en 1993. Les effectifs élevés de smolts sauvages étaient corrélés significativement (P = 0,003) avec les effectifs élevés d'adultes dénombrés avant la fraye dans des tronçons témoins l'année précédente. On a observé que le moment de l'émigration des smolts était relié à la température de l'eau (P < 0,05) et à la phase du cycle lunaire (P < 0,05), mais n'était pas relié aux variations du débit (P > 0,05). Les dates médianes d'émigration, qui ont varié sur 9 semaines, étaient plus hâtives quand les températures printanières de l'eau étaient plus élevées. En moyenne, les deux tiers des smolts d'une année étaient en dévalaison quand la lune était déclinante ou nouvelle, même si ces phases de la lune n'étaient présentes que la moitié du temps. Un nombre de poissons significativement (P < 0,05) plus important que prévu sont passés par les deux pièges quand le jour allongeait. [Traduit par la Rédaction] Roper and Scarnecchia 946
doi:10.1139/f99-023
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