Iván Ortega Rodríguez livre une contribution où M. Henry est mis en confrontation avec Patočka, notamment sur la corrélation entre la vie et le monde, autrement dit sur l'« a priori de corrélation ». Comme le rappelle l'auteur de cette étude, tant Patočka que M. Henry adoptent cette corrélation a priori comme point de départ, et donc eu égard aux questions portant respectivement sur l'apparaître, sur ce qui apparaît et sur cette vie subjective qui semble devoir accompagner toute donation. Aussi

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... Iván Ortega Rodríguez soutient-il que tout semble se jouer entre M. Henry et Patočka dans leur conception de l'apparaître. Autant la donation henryenne nous invite à nous singulariser dans notre expérience selon le pathos de la vie auto-affective, autant elle nous invite chez Patočka à sortir hors de nous-mêmes selon la priorité accordée à l'aspect de « champ » que nous trouvons dans le se-montrer, là où se place tout ce qui est donné.