C hacun qui dispose d 'une chose p eu t être un com m odant: aussibien le p ro p riétaire, que le possesseur ou m êm e le d étenteur. Ile st question si le d étenteur, qui donne une chose à titre de p rê ta u pro p riétaire, passe avec lui un co n trat de oam m odat. Q uoiqueles ju ristes tra n sfé rè e n t u n e règle que res sua ne p e u t pais ê treobjet, e n tre autres, de com m odatum , locatio-conductio e t precarium(D. 16, 3, 15; D. 50, 17, 45 pr.), ils e x a m in è re n t toutefois les

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... tatseffectifs dans lesquels l'objet de locatio-conductio ou precarium.fu t urne chose p ro p re du p re n e u r (p. ex. D. 7, 4, 29 pr; D. 13, 7, 35,.1; D. 13, 7, 37; D. 43, 26, 6, 4). U ne telle a ttitu d e des ju riste sdonna le fondem ent de m e ttre en doute l'originalité du p rin cip eex clu an t la vailddiité du co n trat d o n t l'objet est une chose p ro p red u p ren eu r; d 'a u tre p a rt — de n ie r l'au th en ticité des fragrhentsad m ettan t, le cas échéant, la valid ité du contrat. L orsq u 'on e std 'avis que les sources «oint au th en tiq u es on p e u t constater, q u em algré que la règle ex clu an t la valid ité du contrat, d o n t l'o b je tesrt une chose p ro p re d u preneur, ex istait, elle ad m ettait p o u rta n tp lusieurs exceptions, ce qui tro u v e la co n firm atio n de sources,aussi bien co n cern an t locatio-conductio que precarium e t ce q u ip e u t être appliqué analogiquem ent au com m odatum .