Je croyais que José A. García-Diego, et moi mGrne, avioms démvert danis les Archives d'Abraham Louis Breguet, tout ce qrui emmrnait «son m i » Agustín de Betancourt. Nous p i o m que Huellas de Agustín de Betancourt en los archivos Breguet ' pouvait &re cmsidéré mmrne définotif. Mais les recherches ~dam las Archives idonnent t r h souvent des surp-: dms le dossier intitulé «Angleterre», qui com-prend la mrrysmdmce de 1% c1ienGle horloghre, mmme de différents amis cru relations d'iaffaires

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... nt las Iles Bri-b&quas, jle démuvris une letbre &Mte de Londm, 4 ' o u son clotm-le! 20 aolfit 1793, signée A. Molina. une lecture attsntive me fit suspecter, malgré les fautes d'arthographe, et auissi a cause d'elles, qu'elle avait été écirite par une kmme, mrmaiLxsant 6Cuwment mi= la langue amglaisle que la fran~aise. Une fernme, en eiffet, car elle parle de filles Caroline et Adeline, conme me mere !le ferait. J'eus alow un &larir, cctr je v d s de l%re l'ouvrage! de A. R m e u de Armaar,