complète au sein d'une harmonie décorative d'un nouveau genre. L'intervention d'A. G., on le voit, se veut fondatrice d'une nouvelle approche des décors antiques, où la couleur et la lumière apportent une part décisive dans la création du beau. Dans la rubrique de l'histoire de la réception, le colloque se clôt par deux contributions sur l'utilisation de l'image d'Auguste sous le fascisme, celle de S. Diebner sur la mise en scène d'Auguste par le pouvoir fasciste (forum d'Auguste, ara Pacis

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... stae, mausolée), grâce à l'intervention d'archéologues ralliés au régime (Corrado Ricci, Giulio Quirino Giglioli, Antonio Muñoz), et celle de M. Giuman et C. Parodo sur la 'Mostra Augustea della Romanità'. Il était impossible de rendre compte d'une telle richesse en quelques pages. On aura compris que le colloque de Tübingen constitue une étape décisive dans l'historiographie surabondante suscitée à notre époque par Auguste, un des personnages majeurs de l'histoire mondiale, mais aussi un des plus énigmatiques.